Une grève illimitée a débutée dimanche le 23 mai 2010 au sein de l’école nationale supérieure vétérinaire(ENSV) et cela à cause des conditions dégradées :
Problèmes
Les conditions misérables au sein de l’école :
1. Atteinte aux valeurs morales de l'étudiant.
2. La surcharge des programmes, en particulier celui de la classe sortante (5 Emme année).
3. L'insuffisance des travaux pratiques (TD, TP, CLINIQUES) et l'inexistence des sorties pédagogiques et si cela existaient ce serait uniquement pour certains.
4. les promesses en l’air concernant la nouvelle école.
5. L’absence des buvettes et des douches.
6. Le recours et l’usage à la peur par le directeur et atteinte psychologique de l’étudiant.
7. L’obligation des étudiants à assister les cours de dictée !? En leur interdisant l’accès à la bibliothèque SVP !!! Et à la salle d’informatique (internet).
8. L’inexistence des activités culturelles et sportives permettant à l’étudiant de décompresser.
9. Réfutation absolue de l’existence des associations culturelles et scientifiques.
10. L’exclusion injustifiée des étudiants.
11. La non-reconnaissance des justifications, pourtant légitime, des cas malades, cas sociaux exceptionnels et les retardataires.
12. L’interdiction de circuler au sein de l’école pendant la pause déjeuner.
13. L’absence de consultations des copies d’examens.
14. L’exclusion des étudiants des salles d’examen pour des raisons injustifiées.
15. L’absence de l’intervalle temps pour les étudiants internes pendant les fêtes sacrées (religieuses, nationales…..).
16. L’adoption des décisions et directives concernant l’étudiant sans même prévenir les délégués de chaque promotion.
17. L’absence du rachat.
18. L’interdiction des recours.
19. L’interdiction aux médecins de l’école de prescrire des justifications aux étudiants malades.
20. Manque flagrant de matériel dans les laboratoires alors qu’un budget estimé à 1 milliard de centimes est affecté à leur prise en charge.
21. Interdictions aux étudiants inscrits au magistère d’accéder aux laboratoires de l’école.
Au bout de ces trois jours, aucune autorité compétente ne s’est présentée pour s’enquérir de nos demandes. Le mépris qu’on nous porte ne s’arrête pas à cette indifférence, on s’est arrangé, par le biais d’hommes de paille, pour constituer une bande de voyous qui, en usant de violence, a tentée de rabaisser notre mouvement pacifique et de le détourner de ses nobles objectifs.
Notre mouvement est suivi de près par la presse nationale
700 étudiants s’apprêtent à entamer une grève de la faim dans les 48 heures à venir s’il n y a pas de prise en charge de la plate forme des revendications commençant d’abord par la démission de M. le directeur.
une marche pacifique de 700 étudiants aura lieu dimanche prochain.
On annonce...
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