ARRETEZ DE NOUS PRENDRE POUR DES IDIOTS (3ème Partie)
3éme Partie :
« Avant de tourner une page d’histoire il faut la lire »
Voila le moment qu’on attendait le plus depuis le début, l’arriver des stylos bleus, il y avait un tel déploiement de force, tout les corps était présent, il manquait que les gardes forestiers, et pourtant ce n’était pas la fête de l’indépendance, maintenant on savait que c’était des préparations pour la parade officielle. La question qu’il faut se poser est pourquoi une tel mobilisation des forces publics ?
Ce qui avait mis la puce à l’oreille des étudiants c’était Mr je-sens-la-corruption qui était venu appliquer la décision de justice sans prendre la peine de l’avoir sur lui.de là, commençait à sentir la mise en scène. Puis les évènements qui suivaient confirmèrent cette idée. Dans toutes les bagarres qui survenait entre les vigiles de l’école et les étudiants même en dehors de l’établissement, la police n’avaient jamais intervenu, pourquoi ? Peut être ils avaient peur des étudiants. La réponse est simple comme Bonjour, ces forces avait reçu l’ordre de ne touchez personne, c’était simplement destinée à intimider les étudiants et trié ceux qui était convaincu de la cause de ceux qui juste ne faisait que suivre le mouvement. De telles actions faisaient que serrer les rangs des étudiants.
Revenant maintenant sur cette fameuse décision, il ya beaucoup à dire sur elle. Commençant par déjà le fondement du procès l’avocates des 12 étudiants qui ont été prit aléatoirement avait plaidé le non lieu du procès et elle avait raison. Car ils n’étaient pas un syndicat, mais jugé comme tels. Les lois n°90-14 du 2 juin 1990 modifiée. Sur les modalités d’exercice du droit syndical dans le Titre 2 : Constitution, organisation et fonctionnement des organisations syndicales, Chapitre 1 : Constituions, l’article 8 : stipule un dépôt d’une déclaration de constitution auprès de l’établissement et l’accomplissement des formalités de publicités dans au moins un quotidien national d’information hors ça n’a jamais était fait.de même le chapitre 2 : Droits et Obligations, l’article 19 : stipule que l’organisation syndicales peut éditer et diffuser des bulletins, revus, document d’information et brochures en rapport avec son objet. Donc la décision de la délégation d’interdire l’affichage et les banderoles était seulement un conseille pas une obligation comme il le disait. Chapitre 3: Statuts, L’article 21 : stipulant que le statut des organisations syndicales doivent énoncer, sous peine de nullité l’objet, la dénomination et le siège de l’organisation. Là est que la première condition de formation d’un syndicat et il n’est pas satisfaite alors n’en parle on pas des autres. Alors tout ça affirme que nous avons était poursuivis comme un syndicat mais nous n’avions pas leur droit. En plus le directeur a affirmée que c’était seulement une trentaine d‘étudiants qui faisaient la grève alors que le règlement syndicales stipule qu’un mouvement est représentative d’une population si seulement il englobe 20% de l’effectif de l’établissement .où on veut en venir c’est que il ya des contradictions flagrantes dans les propos présentez par la justice et les lois en vigueur et le caractère réel du mouvement que nous avons entrepris.
En un mot, on a été poursuivit en justice en tant que syndicat alors que tout se contredit avec une telle affirmation. Le déploiement de force était juste une manœuvre d’intimidation du directeur, et qu’il ne pouvait toucher a aucun étudiant car nous somme protégé par la loi contre toute influence. Cette décision s’ajoute au doute déjà existant sur notre appareil judiciaire.
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